À PROPOS DE MOI
Suite à une 1ere candidature de médecine à Namur, un test d'orientation au PMS me dirigea vers des études de psychologie.
J'ai choisi dans un premier temps un bachelier psychologie option entreprise.
J’ai découvert la psychanalyse et l'ai ajoutée dans mon cursus en 2001 (4 ans de divan, les conférences, lectures de groupes, etc. à la cause freudienne de Liège).
Mon travail de fin d'étude porta sur la motivation du salarié en entreprise, ce qui ne manquait pas d'éveiller mon intérêt sur l'importance de la prise charge des émotions, et ce, même en milieu professionnel.
Je fus très vite engagée dans un centre d'aide social, en tant qu'assistante en psychologie des jeunes bénéficiaires de 18 à 25 ans.
Subsidiée par la commission européenne dans le cadre de la lutte contre la pauvreté, ma mission fut de remettre ces jeunes au travail, soit via l'inscription à une formation qualifiante soit via l'obtention d'un emploi.
J'obtins 88% de réussite, et mon rapport ayant démontré que le manque d'espoir et de motivation dans la vie de ces jeunes était transgénérationnel, donc familial, j’obtins des crédits d'heures pour une maîtrise en sciences de la famille et de la sexualité à l’UCL.
N'ayant aucune idée de mémoire de fin d’étude, j'ai "choisi" à la dernière minute dans une liste proposée par les doctorants, l'étude des effets du stress sur l'éjaculation précoce, dans le cadre d'un couple traditionnel ou d'un couple moderne.
Devenue spécialisée dans la gestion du stress et ses conséquences sexologiques dans le couple, je m'installai à Liège, en libéral, en tant que psychothérapeute, thérapeute familiale et conjugale, psychanalyste et sexologue.
Je comprenais tous les tenants et aboutissants des troubles de la sexualité, mais n'avais aucune méthode "rapidement" efficace.
Quelques recherches sur internet me font découvrir les bénéfices de l'hypnose.
Inaccessible en Belgique pour les non médecins (nous étions en 2008), je me suis dirigée vers la France, où j'ai fait un mois de formation pour devenir maître praticien en hypnose.
Ce qui me permit d'ajouter le titre d'hypnothérapeute à mon curriculum vitae.
Afin de me prévenir des traumatismes vicariants et burn out associé inhérents au métier de la santé mentale, j'ai, en 2013, à Liège, découvert les bienfaits de la poésie et du Slam. De 2017 à 2019, je me suis inscrite à l’académie des beaux-arts à Chatelet, section peinture et orfèvrerie.
En 2020, j'ai déménagé mon cabinet à Charleroi, le mois suivant, le confinement fut annoncé.
J’en ai profité pour reprendre différentes formations en distanciel (hypnose rapide, neurosciences, etc.), de relire mes cours universitaires, et de me mettre à jour quant aux dernières publications en psychotraumatologie.
Ce qui m'a permis d'élaborer une nouvelle méthode psychothérapeutique la Méthode 4F©, permettant de traiter les aspects conscients et inconscients des difficultés relationnelles, y compris les troubles de l’attachement, par conséquent les psychotraumatismes complexes ainsi que les traumatismes transgénérationnels.
Aujourd'hui, en plus des consultations, je transmets la technique psychothérapeutique qu'est la Méthode 4F© aux professionnels de la santé mentale et de l'accompagnement (https://www.aylamisirli.com/fr/formation-en-psychotherapie).